Title Image

Les addictions

Notre origine

 

Nous avons reçu une existence et nous la considérons comme individuelle, bien qu’en réalité elle ne le soit pas, car nous sommes tous unis et identiques à notre Créateur.

 

Notre conscience s’est éloignée du Tout car nous avons eu la possibilité de créer avec notre propre volonté. Cependant, nous sommes toujours contenus en Lui, il ne peut en être autrement car Dieu ne divise pas. Il donne seulement la liberté aux particules de Sa conscience d’agir comme elles l’entendent, mais les rassemble ensuite dans Son Être Infini.

Tout ce processus peut se résumer ou définir comme l’Amour, car c’est par amour qu’il donne la liberté à ces étincelles (provenant de son essence) de vivre toutes sortes d’expériences et de les accueillir à nouveau dans son être avec un amour infini.

 

Lorsque nous sommes incarnés dans ce plan (la troisième dimension) nous vivons dans un monde de dualité. Nous venons faire l’expérience de la vie dans la matière physique avec ses défis, ses joies et ses souffrances.

 

Nous sommes des êtres spirituels, divins, ayant volontairement limité notre compréhension pour pouvoir agir dans ce monde matériel et physique. Le but étant d’expérimenter le contraire de ce que nous sommes et découvrir peu à peu notre véritable essence qui est l’amour.

 
 

Les dépendances

 

Lorsque nous oublions qui nous sommes, d’où nous venons et où nous retournerons, nous nous sentons seuls et abandonnés. Parfois, l’être humain ne trouve pas le vrai sens de la vie et ressent une immense solitude dans l’âme. Ce sentiment de manque, d’amour ou d’argent par exemple, peut pousser et amener une compensation par l’addiction qui permet d’échapper à cette réalité.

 

La dépendance peut se produire à l’égard des autres. Un individu peut s’attacher à une personne au point de ne plus pouvoir vivre sans elle, et cela, même si la relation est parfaitement négative parce qu’elle le fait souffrir. C’est parce qu’il ressent un fort sentiment d’abandon (que nous avons tous lorsque nous nous sentons séparés) qu’il essaie de le compenser avec cette dépendance.

 

L’alcool et les drogues produisent un état de perception altérée de la réalité. Une fois sous l’effet de ces substances, l’individu ne ressent plus la sensation de solitude infinie et de vide existentiel. Cela crée donc une dépendance. 

Les cigarettes peuvent produire des réactions chimiques qui peuvent calmer l’anxiété et produire une tranquillité temporaire. 

L’obsession du travail illustre également les dépendances. Le travail est une activité qui, lorsqu’elle est vécue uniquement dans le but de s’occuper, permet d’éviter l’écoute des émotions et problèmes de la vie quotidienne.

Également, l’obsession de la nourriture tend à compenser certaines émotions telles que la peur, l’abandon, le manque d’amour, etc.

 

C’est ainsi que se produit la dépendance : le corps s’habitue tellement à la nicotine, à l’alcool ou à n’importe quelle substance qu’il a besoin qu’on la lui donne pour se sentir bien. C’est une forme de fuite de la réalité, un moyen d’éviter la douleur.  

 

La tendance à culpabiliser et se sentir victime peut également être une forme de dépendance. La culpabilité est un sentiment né de l’ego, car c’est une chose de se rendre compte que l’on a mal agi, d’essayer de compenser cette erreur tout en ayant l’intention de ne pas la répéter, et c’en est une autre d’être installé dans la culpabilité de ne pas accepter d’avoir commis une erreur à cause de sa propre imperfection. 

Dans ce dernier cas il s’agit de l’orgueil, car l’individu refuse le fait de ne pas être parfait, ce qui l’amène parfois à agir dans des situations qui provoquent la culpabilité et justifient ainsi une dépendance qu’il tente de dissimuler.

 

 

L’inscription dans notre ADN

 

Généralement, ces obstacles sont choisis avant de s’incarner sur terre, afin de les accepter et de les transcender.

 

Le toxicomane peut appartenir à un groupe d’âmes qui portent ce gène dans leur ADN. Le but étant de dépasser cette dépendance, rechercher un épanouissement spirituel dans l’ouverture de sa conscience.


La dépression est une autre forme d’évitement qui peut également être inscrite dans l’ADN. C’est quelque chose choisit avec l’intention de la surmonter. Ce qui la déclenche, c’est la non-acceptation des circonstances de la vie, qui produit une série de déséquilibres chimiques conduisant à la maladie. Non traité, cela peut conduire au suicide, qui est l’expression ultime du rejet de la vie telle qu’elle est.

 
 
 

Sortir de l’addiction   

 

La méditation est un moyen pour gérer la dépression ou les addictions. C’est un outil qui nous met en contact avec le Tout, afin de sentir la plénitude, la paix et l’harmonie intérieure. En méditant profondément, nous communiquons avec notre moi réel, qui n’est pas séparé de la création, mais qui en fait partie intégrante, ainsi qu’avec celui qui est à l’origine et au cœur de tout ce qui existe, que l’on appelle Dieu, le Créateur, le Tout, la Conscience universelle etc.

 

Méditer nous aide à revenir à la conscience de l’unité, à comprendre que nous ne sommes ni seuls ni séparés.

 

C’est dans les moments où nous nous retirons mentalement de la troisième dimension que nous entrons en relation avec la magnificence de ce que nous sommes réellement. Nous sommes comme des gouttes d’eau dans l’Océan qui, une fois unies à Lui, sont l’Océan, car il n’y a pas de séparation.

 

L’acceptation est le meilleur antidote à tous ces comportements: accepter ce qui nous arrive et ce que nous sommes réellement.

 

Tout ce qui nous arrive fait partie d’un plan, décidé avant de nous incarner afin d’apprendre et de pratiquer les différentes vertus telles que: l’humilité, la patience, la générosité… en résumé l’amour sous toutes ses formes. Cela nous amènera à évoluer et à revenir à notre origine.